Il y a des femmes qui collectionnent les échecs amoureux…
Au fait, qu’est-ce que les conduites amoureuses répétitives? C’est une séquence d’émotions et de comportements basés sur des croyances plus ou moins erronées sur soi, les autres et l’amour. Qu’il s’agisse de rôle appris, modèle ou schème de comportement, les conduites amoureuses répétitives ont toujours le même résultat: celui de faire un mauvais choix de compagnon. C’est ainsi que l’on retrouve des femmes qui vont d’unions boiteuses en mariages catastrophiques, sans paraître comprendre que les alcooliques, les hommes violents et autres messieurs du genre ne sont pas faits pour elles et ne peuvent que les rendre malheureuses.
Trois femmes qui connaissent bien ce cercle infernal ont accepté de nous livrer leur expérience. Ni battues ni ruinées par leurs « ex », elles ont quand même été rudement ébranlées par une succession de relations malheureuses. « Mes deux dernières relations m’ont démolie, dit tout simplement Josée, une hygiéniste dentaire de 29 ans. De 22 à 25 ans, j’ai vécu avec un garçon qui avait des problèmes de drogue et d’alcool. J’ai fini par rompre… pour me retrouver avec un délinquant, un « bum », comme on dit. Mais maintenant, ma période « missionnaire » est bien terminée. »
C’est une promesse que Lise, gérante de restaurant, s’est également faite. « J’ai fini de jouer à la mère comme je l’ai fait avec mes trois maris, modèles d’immaturité. Le premier était un artiste raté, le deuxième un éternel étudiant, et le dernier un chômeur chronique! J’ai 43 ans, et j’ai passé environ 25 ans à essayer de trouver l’amour. Mais mes romans Harlequin à moi se terminaient toujours mal… »
Comme ceux d’Annie, d’ailleurs, une caissière qui s’étonne encore de constater que tous ses compagnons, ou presque, l’ont trompée. « Je ne compte plus les hommes qui m’ont fait le coup! Ce n’est pas très grave quand il s’agit d’un amant de passage, mais quand c’est l’homme que tu aimes… » Annie est d’autant plus troublée qu’à 31 ans elle aimerait avoir des enfants. « Mais avec qui? Pas question que mes enfants aient un coureur de jupons comme père! »
Où est la source du problème?
La première relation amoureuse d’un enfant est celle qu’il a eue avec ses parents.
Pourquoi tant de femmes retombent-elles sans cesse dans le même panneau? Être victime de conduites amoureuses répétitives, c’est essayer d’appliquer un mécanisme déjà appris pour répondre à nos besoins. Cette définition qu’ont certains thérapeutes diverge des explications classiques de la psychologie qui parlent de compulsion, de goût pathologique ou d’attirance névrotiques. Il semblerait donc que, pour combler leurs besoins, les victimes se tournent vers les apprentissages de leur enfance. Prenons comme exemple une famille où la mère attend sans cesse que son Casanova de mari revienne à la maison. Devenue adulte, la fille de ce couple peut fort bien, souvent inconsciemment, reproduire à son tour le comportement de sa mère et avoir le même genre de rapport avec les hommes. Et c’est là justement que se situe le problème. Comme cette dynamique familiale n’est jamais des plus saines, il est facile de deviner quel cercle vicieux vient de se créer.
Toutes les dépendances se transmettent. Enfant, nous apprenons de nos parents des façons émotives de résoudre des problèmes. Ce peut être par l’alcool, le travail, la bouffe, la violence… Peu importe de quelle nature est la béquille qui règle, même temporairement, nos états d’âme. Parvenues à l’âge adulte, ces femmes tentent de régler avec leur conjoint les problèmes non résolus de leur enfance en pigeant dans le même arsenal d’armes qu’utilisaient leurs parents.
Pourtant, beaucoup s’insurgeraient si on leur disait qu’elles imitent le modèle familial. Le schéma de base est toujours là; l’enfance est une époque qui marque pour toujours. Toutefois, on peut quand même refuser de se comporter comme nos parents. Étudions, par exemple, le cas d’une femme qui a toujours vu sa mère hypocondriaque se faire servir par son père. Résultat: au contraire de sa mère toujours préoccupée par ses petits bobos, la fille, elle, ne voudra pas accorder d’importance à sa santé. Mais c’est exactement ce genre de choses qui fera qu’elle sera malade elle aussi.
Ainsi, bien des années après l’âge des tresses et de la corde à sauter, il faut encore se tourner vers l’enfance pour comprendre le présent. La première relation amoureuse d’un enfant n’est-elle pas celle qu’il a eue avec ses parents? Si le milieu familial est un nid de vipères, l’héritage est alors parfois lourd à porter… et, plus tard, il devient sans doute plus difficile d’établir une relation équilibrée avec un homme.
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Un échec, deux échecs trois échecs…
Personne n’aime échouer. Pour certaines, perdre une partie de Scrabble est un martyre! Aussi, pouvons-nous facilement imaginer l’état d’esprit de celles qui n’ont jamais connu autre chose que la défaite en amour. À la peine réelle qu’elles ressentent devant leurs amours difficiles s’ajoute un certain sentiment de culpabilité résultant du blâme des proches. Leur comportement peut en effet sembler aberrant pour ceux qui ne peuvent comprendre pourquoi elles s’entêtent à choisir le numéro perdant… « C’est atroce! Quand j’ai laissé mon dernier »chum », une copine m’a fait un sermon épouvantable sur mon manque de discernement. Je me sentais déjà assez humiliée comme ça — mon ami venait de me dire qu’il avait une liaison avec une autre — sans qu’on me renvoie en plus l’image d’une pauvre imbécile!,,, s’exclame Annie, encore amère. « On aurait dit que mes proches pensaient que j’étais masochiste, comme si j’aimais ça, être avec des hommes infidèles! Au contraire; je rêve de stabilité, d’une petite vie tranquille, sans incertitude ni mensonge. »
À l’humiliation s’ajoute aussi fréquemment un sentiment d’impuissance. Comment combattre cette attirance malsaine envers des hommes qui nous nuisent? L’équation « amour, danger, malheur » n’a rien de facile à résoudre. « C’est d’autant plus fou que, dans mon cas, je savais très bien que je courais au-devant des peines. Mais une fois engagée dans une relation, je me sentais incapable d’y mettre fin. C’est aussi stupide que ça; j’aime les marginaux, les gars « à problèmes » parce que, si je me compare à eux, je me sens très stable, très équilibrée. Dans le fond, je me prends pour une missionnaire qui va sauver le monde entier. Il n’y a qu’un seul hic, c’est qu’on ne sauve personne contre son gré », expose Josée.
Quant à Lise, le bilan de ses trois mariages n’a rien de rose. » La seule bonne chose que mes deux premiers maris m’ont laissée, ce sont mes deux fils, des enfants adorables. Mais pour le reste… Quand je me remémore des souvenirs, je ne retrouve que des comptes à payer seule, beaucoup de larmes, des scènes épouvantables et une profonde solitude. Pas de quoi se pâmer, et rien à regretter non plus! »
Annie, Lise et Josée sont désormais bien déterminées à ne plus emprunter la même voie sans issue. Elles ne veulent plus choisir comme partenaire un irresponsable, un voyou ou un infidèle chronique. Mais il n’en est pas de même pour toutes les femmes qui vivent la même situation. Au contraire, il arrive trop souvent que l’échec entraîne l’échec… dans une ronde sans fin. Ces femmes ont appris un certain langage affectif. Et, d’après vous, avec qui peuvent-elles le partager si ce n’est avec un homme qui le connaît aussi? Effectivement, qui d’autre qu’un alcoolique peut comprendre une femme qui brûle de se dévouer à le guérir par la force de son amour? Quel coureur de jupons n’aurait pas envie de la stabilité de celle qui lui promet le bonheur? Le prix à payer est pourtant très lourd. Après avoir essuyé autant de revers en autant de relations, on est forcément plus fragile, et même de plus en plus fragile, au fur et à mesure que les défaites s’accumulent. Les conduites amoureuses répétitives peuvent avoir des conséquences tragiques, voire même entraîner au suicide dans des cas très graves. Et quand on pense aux femmes qui recherchent des hommes violents, on comprend que leur attirance peut-être carrément dangereuse, et pas seulement au niveau psychologique. L’amertume, la perte de confiance en soi et l’impuissance sont aussi le lot de nombreuses victimes.
Mais pourquoi donc?
L’amour nous fait parfois broyer du noir…
Il est excessivement difficile de comprendre les femmes qui se fourvoient sans cesse dans leur grande quête du bonheur. Comment accepter que cette amie très chère se fasse encore battre par son conjoint? Qu’une soeur éponge sans coup férir les dettes de tous ses maris depuis des années? Aux yeux de tous, ces femmes passent pour d’éternelles victimes, des personnes un peu déséquilibrées ou pas tout à fait saines d’esprit. « Pourtant, si on choisit de vivre avec des hommes qui nous rendent malheureuse plutôt qu’avec de gentils garçons, c’est parce qu’on les aime!, explose Lise. Alors, par amour, on entretient financièrement notre énième conjoint, on l’encourage même s’il nous fait des « coups pendables », et on materne l’éternel homme-enfant. » Ah, l’amour! Parfois, ça apporte tant de souffrances en prime. Ça nous fait battre le coeur, mais ça nous fait aussi vider nos comptes en banque, refuser des promotions et remettre à plus tard un désir de maternité! Mais, dans ces cas, est-ce vraiment de l’amour? Même lorsque cela ressemble plutôt à une cérémonie sadomasochiste où trop de femmes croient trouver le bonheur en se consacrant exclusivement au bien-être de l’autre?
Le mauvais partage des responsabilités au sein du couple est une des causes importantes des conduites amoureuses répétitives. Il y a alors déséquilibre; on ne sait pas évaluer ses propres besoins, car on a essentiellement appris à combler ceux des autres ou à se faire prendre en charge. Et, dans les deux cas, ça ne fonctionne pas. Une relation saine est une relation où il y a de la réciprocité. Par contre, il faut aussi préciser que la victime reçoit parfois des bénéfices cachés. Cette affirmation semble rejoindre les confidences de Josée: « Il me semble qu’il y a forcément quelque chose d’avantageux pour les deux. Moi, je l’ai dit, j’aimais me sentir la plus forte. Bien sûr, sur le coup, je ne m’avouais pas les choses aussi clairement. Mais, maintenant, il faut bien que j’admette que j’éprouvais un certain plaisir à jouer le rôle de la victime tout en sachant secrètement que mes amis dépendaient de moi », reconnaît Josée.
Annie, pour sa part, Pense tout à fait le contraire. « Des compensations, des avantages? Non, je n’avais pas l’impression d’en avoir. J’avais mal chaque fois, et c’était tout. À chaque nouvelle relation, je me disais que cette fois-ci tout allait changer et que rien ne serait pareil. C’est pourquoi j’ai supporté tant de Casanovas. Je n’arrivais pas à croire que tout était un éternel recommencement et que je tournais en rond d’une fois à l’autre. J’espérais toujours que ça change… J’ai donc entretenu mes illusions pendant des années, jusqu’à ce que ça me fasse trop mal », raconte-t-elle.
Une génération charnière
C’est un bien gros cliché que d’affirmer qu’il n’est pas facile d’être une femme, mais c’est aussi une réalité. Au Québec, nous sommes passées, en 40 ans, des instituts d’arts ménagers à l’université, des familles de 12 enfants à la contraception et à l’avortement, de la virginité obligatoire au droit d’avoir des aventures d’un soir. Peut-on, dans un intervalle si court, se sentir totalement libérées de toutes les contraintes qui ont pesé sur nos mères? Les conduites amoureuses répétitives sont peut-être le reliquat de ce carcan très rigide qu’on imposait aux femmes, et dont nous n’avons pas encore réussi à nous débarrasser.
Nous vivons une bien drôle de période. Nous voulons des hommes « nouveaux » et nous avons de nouvelles attentes face à eux. Mais confrontées au changement, nous ne savons pas quoi faire, car c’est un langage émotif inconnu qu’il faut apprendre, ce qui n’est ni facile ni rassurant. Le défi de ce nouveau millénaire est là. Pour apprendre ce nouveau langage émotif, il faut s’attaquer
à tous les mythes élaborés au sujet des relations amoureuses. Non, la Belle au bois dormant n’a pas à attendre qu’un prince charmant la réveille pour vivre. Non, Peter Pan n’est pas un adolescent ravissant; c’est plutôt un adulte qui aurait tout intérêt à grandir! Non, l’amour ne règle pas tout et ne représente en aucun cas une garantie de bonheur éternel. Ce ne sont là que des métaphores dont nous gardons un souvenir nostalgique. Une fois que tout cela sera bien compris, et qu’on aura remplacé les mots « dévouement » et « don de soi » par « partage » et « respect », peut-être y aura-t-il moins de femmes qui collectionneront les échecs amoureux.
Nous sommes vraiment une génération charnière. Bien que nous ayons appris les rôles de nos mères, la société a beaucoup changé depuis. Il nous faut maintenant développer de nouvelles normes de communication, tout comme les hommes doivent apprendre à être plus ouverts. Nous avons tous appris que l’amour était une entreprise facile; il faut maintenant revenir sur nos opinions et comprendre qu’au contraire les relations amoureuses sont les plus complexes qui soient.
Pour refaire surface
Cela peut être bon de se confier à une amie, mais il y a des attentes entre amies.
Que faire quand on s’aperçoit qu’on cultive les mêmes conduites amoureuses depuis des années? La première chose à faire est de prendre conscience de la situation. Sans cela, rien n’est possible. Il n’est pas suffisant de mettre fin à une relation insatisfaisante, car il est trop facile de succomber une fois de plus et de jeter son dévolu sur un homme en tout point semblable à ceux qui l’ont précédé. Dans un premier temps, il faut donc identifier nos modes de fonctionnement, c’est-à-dire ce qui fait que l’on se retrouve toujours dans la même situation. Les femmes d’alcooliques peuvent, par exemple, découvrir qu’elles rencontrent toujours leur conjoint dans un bar. Ensuite, il faut essayer de faire le lien avec nos apprentissages antérieurs; c’est le temps d’examiner nos modèles familiaux et de chercher à cerner les bénéfices cachés qu’on n’ose pas trop s’avouer. C’est aussi le moment d’identifier nos besoins, et de déterminer quels sont nos vrais objectifs. À partir de cela, on pourra alors trouver des façons différentes d’interagir, ce qui peut vouloir dire varier nos lieux de rencontres, par exemple.
Pourquoi ne pas faire un voyage dans le passé, direction « l’enfance et ses blessures ». Le coeur de la problématique, c’est l’enfant qui a souffert. Cette enfant existe encore, et c’est elle qui décide pour l’adulte. Ce sont ses besoins qui lui font prendre de mauvaises décisions et donc choisir de mauvais partenaires. Il faut rassurer la petite fille en nous et en prendre soin pour qu’elle laisse place à l’adulte, qui pourra faire de meilleurs choix et porter des jugements plus rationnels.
Quand on n’est pas encore rétablie de toutes les liaisons qui ont échoué, il est évidemment essentiel d’éviter de s’engager dans une autre relation. L’erreur la plus commune est justement de vouloir guérir l’amour par l’amour. Et dans le cas des conduites amoureuses répétitives, le remède devient un poison. Mieux vaut attendre et penser à soi avant de vouloir tout conjuguer à la première personne au pluriel. C’est comme lorsqu’on rénove sa maison. Est-ce qu’on invite des gens quand tout est à refaire ?
On conseille également, à celles qui le désirent, de ne pas hésiter à recourir à une aide professionnelle. Bien sûr, il existe des « amitiés thérapeutiques ». Cela peut être très bon de se confier à une amie. Mais il y a des attentes, des intérêts personnels, entre amies. Cela fausse le jeu quand il s’agit d’une recherche personnelle où il faut déterrer de vieux problèmes.
Réapprendre à aimer, et à s’aimer, est un cheminement long et pénible. Mais si l’entreprise n’a rien d’un pique-nique, elle permet quand même la plus belle des découvertes; on se retrouve soi-même, avec ses défauts et ses qualités. Ainsi, les petites filles qui ont souffert se transforment-elles parfois en adultes responsables et épanouies. C’est ce qu’ont fait Lise, Annie et Josée. À coup de « plus jamais », elles ont choisi de foncer vers l’avenir. « J’ai décidé de penser à moi. Ça paraît très simple, mais c’est drôlement difficile de se convaincre qu’on est sa priorité numéro un. Je suis seule depuis un an, et honnêtement, je ne suis pas certaine d’être prête à rencontrer un autre homme. Je pense que j’aurais encore envie de le faire payer pour tous les autres! » ironise Lise. Mais c’est avec un sourire dans la voix qu’elle avoue ses espoirs, les mêmes que ceux d’Annie, de Josée et de millions de femmes: « Je voudrais finir par rencontrer quelqu’un de bien. Un homme que j’aimerais et qui m’aimerait, tout simplement. » Amour, amour, quand tu nous tiens…
Comment reconnaître les hommes à éviter
L’instinct ne ment pas et il est encore le plus sûr allié quand il s’agit de savoir si l’homme rencontré fera un bon partenaire. Il n’y a qu’une seule question à se poser, et c’est de savoir s’il nous mérite. Instinct ou pas, voici les profils de quelques hommes à éviter.
L’éternel adolescent: D’accord, il est adorable. Qui d’autre que lui pourrait vous proposer un week-end à New York à quelques heures d’avis? Mais sous cette belle fantaisie se cache un défaut moins amusant: son absence totale du sens des responsabilités. Pourquoi s’occupe-t-il si peu (ou pas du tout) des enfants de son premier mariage? Pourquoi oublie-t-il vos rendez-vous? À éviter: acheter une maison en copropriété avec lui.
L’alcoolique: Ouf l Qu’est-ce qu’il en a des problèmes cet homme- là ! Si tendu, si stressé, un petit verre lui fait tellement de bien. Oh Rien de très grave: quelques verres après le travail, un apéro avant de souper et une bonne bouteille pour arroser le tout. « L’alcool me détend, mais je pourrais très bien m’en passer », vous dit-il de bonne foi. Alors pourquoi part-il avec toute cette panoplie de bouteilles lors de votre premier week-end à la campagne? Au fait, l’auriez-vous rencontré dans un bar? À éviter: monter en automobile avec lui.
Le coureur de jupons: Quel charme! Vous êtes peut-être sa vingtième conquête de l’année, mais vous, vous n’êtes pas comme les autres. Bizarre-, c’est aussi ce qu’il a dit à votre collègue et à la jolie serveuse du restaurant où a eu lieu votre premier tête à tête! Il jette sans cesse des regards plus ou moins discrets à tout ce qui porte des bas de nylon et qui n’est pas octogénaire. À éviter: se laisser emporter par la passion sans condom.
Le violent: Il est fermé et décidé. À le regarder de plus près, il est même directif et un peu autoritaire. Vous lui appartenez, tenez-vous-le pour dit. N’essayez pas d’atteindre la perfection ou la sainteté, il veut plus que ça. Et si ça ne va pas, son gant de velours laissera la place à une main de fer. Après tout, vous l’avez provoqué, vous fera-t-il tendrement remarquer en vous apportant un bouquet de fleurs pour se faire pardonner. A éviter: lui donner l’occasion de vous faire des bleus au coeur et au corps.